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Mariam Wallet Aboubakrine est un médecin de Tombouctou au Mali. Elle est diplômée de l'Université de Tizi-Ouzou (Algérie) et a mené plusieurs recherches en ophtalmologie, obstétrique et gynécologie, pédiatrie et médecine générale. Elle est également titulaire d'une maîtrise en action humanitaire de l'Université de Genève, axée sur les interventions en cas de crise: conflit armé, marginalisation / exclusion et catastrophes naturelles. La dernière partie de ses études portait sur «Le rôle de la médecine traditionnelle chez les Touareg au Mali. Mariam est membre de Tin Hinan, une association de femmes œuvrant pour la défense, la promotion et le développement des peuples autochtones en Afrique, en particulier les Touareg. Mariam est un membre très actif de cette organisation depuis qu'elle est jeune et a travaillé sur de nombreuses questions liées à la santé, telles que la nutrition, la prévention du paludisme et l'éducation en matière de santé sexuelle et reproductive chez les Touareg. Elle a participé à une formation sur la Convention 169 de l'OIT et à plusieurs reprises au Mécanisme d'experts sur les droits des peuples autochtones. Elle a également fait du bénévolat auprès d'ONG africaines pour défendre les droits de l'homme lors des sessions ordinaires du Conseil des droits de l'homme des Nations Unies et de l'Examen périodique universel en Afrique. Elle est également consultante indépendante en matière d'égalité des sexes, de santé et de résolution de conflits / accords de paix dans les communautés autochtones.

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Les 3èmes Entretiens Techniques du PRAPS se sont tenus à la satisfaction générale des organisations membres du WAMIP (Alliance Mondiale des Peuples Mobiles et Autochtones) présentes aux travaux.

Le Projet Régional d’Appui au Pastoralisme au Sahel (PRAPS) a organisé du 15 au 17 octobre 2018 à Ouagadougou (Burkina Faso), ses 3èmes Entretiens Techniques (ETP3) sur le thème de l’ « Amélioration de la santé animale en zone sahélienne ».

Les participants venus du Mali, de la Mauritanie, du Niger, du Tchad, du Sénégal, du Bénin, du Togo, de la Côte d’Ivoire, de la Guinée Bissau et du Burkina Faso, ont pendant trois (O3) jours d’échanges fructueux, réfléchi sur le mode de fonctionnement et la structuration des services vétérinaires, ainsi que le système de gestion des maladies transfrontalières.

 Ainsi, la synthèse des travaux a permis de dégager des perspectives et de faire de fortes recommandations au PRAPS, aux fins d’une véritable amélioration de la santé animale au sahel.