Renforcer les capacités de relèvement et de résilience des communautés vulnérables et groupes de populations par :
La facilitation d’un meilleur accès aux moyens de production et de subsistance ;
La promotion d’un environnement propice à la création d’une chaîne de valeur ajoutée ;
La protection de l’environnement et lutte contre les effets des changements climatiques
L’appui à la protection de la biodiversité à travers le renforcement des capacités des populations, la sensibilisation, l’identification et la valorisation des plantes utilitaires ;
La promotion de l’économie locale et familiale notamment rurale à travers un meilleur accès à la micro finance ;
Promouvoir les droits humains et plus particulièrement ceux des groupes vulnérables par :
La promotion de l’accès, du maintien et de la réussite scolaire des enfants et plus particulièrement des filles ;
La promotion de l’accès à l’information et aux services sanitaires des groupes vulnérables notamment les femmes et les enfants ;
La lutte contre les Violences Basées sur le Genre (VBG), les Maladies sexuellement transmissible.
Renforcer les capacités des communautés en vue de leur autonomisation socioéconomique par :
L’éducation en Droit humains et la dynamisation des organisations des femmes ;
la capacitation des communautés à la base à travers l’alphabétisation et les Formations Techniques Spécifiques ;
Le renforcement des capacités de maitrise des technologies et des capacités de gestion de la production ;
La formation des organisations des femmes et des jeunes à la vie associative, gestions des conflits, cohésion sociale, paix.
Le plaidoyer, la sensibilisation et la communication, capitalisation des acquites des projets exécutés.
Les cibles :
Communautés vulnérables et groupes de populations spécifiques tels que les paysans, les peuples autochtones, les éleveurs traditionnelles, les personnes réfugiées/déplacés, les femmes, les handicapés, les jeunes, les enfants.
Les décideurs et élus locaux, les leaders d’opinions, les services techniques.
Réseautage :
Le réseautage à travers l’association fondée dans les 3 pays du sahel (Mali, Niger, Burkina, Canada) Tin Hinane en plus d’être membre des réseaux d’organisations pastorales du Sahel et du Monde à créer une plateforme de femme pastorales qui s’appuie sur ces structures et membres dans les différentes régions et pays.
Membre de la plate forme OSCS pour le développement durable et REED du Burkina Faso.
Membre du FORUM Internationale des femmes autochtones.
Membre du réseau des peuples autochtones d’Afrique (AIPN).
Membres du réseau international des observateurs des fonds changement climatique (SAN).
Tin Hinane a été membre du CSM (Comité mondiale de la sécurité alimentaire, elle est membre du Forum Mondiale des organisations de la société civile qui suivent le Comité Mondiale de la sécurité alimentaire (CSA). Elle est membre de slow food à travers la sentinelle Katta de Tombouctou et Gao.
Tin Hinane participe aux négociations sur les changements climatique qui ont abouti à l’accord de Paris cop 21, elle continue à suivre ce processus. elle suit ce processus.
Tin Hinane est membre Fondatrice d’un réseau sahélien transfrontalier (Mali, Burkina) de femme et Paix fondé à travers un projet appuyé par l’Union européenne en partenariat avec Handicap international pour une meilleure implication des femmes dans les initiatives de paix (FORCE) de 2014 à 2016.
Les services techniques déconcentrés et les communes:
Elle a appuyé le programme sécurité alimentaire au profit des communes de Tombouctou, Ber et Salam de 2009 à 2012 en partenariat avec la coopération Suisse.
Tin Hinane a appuyé les services techniques et communes du Sahel Burkinabé à travers un projet de renforcement de capacité sur le genre, droits humaines, plaidoyer et communication à travers le financement du Fond commun Genre ( FCG).
Elle apporte son assistance aux personnes réfugiées, déplacés et personnes sinistrées par
le secours d’urgence, les activités de développement communautaire d’accompagnement.